tout simplement

Une vidéo très courte pour montrer une idée toute simple. (via  Joe Wikert’s Publishing 2020 Blog)
Ça y’est, vous avez vu ? Il fallait y penser.
Moi, j’en veux un. Pas vous ?

Ce contenu a été publié dans la vie numérique. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

3 réponses à tout simplement

  1. Clément Laberge dit :

    Wow! Voilà une façon intéressante de renverser le paradigme autour du livre électronique… qui soudainement ne devient plus qu’un accessoire… Brillant! À suivre. Merci d’avoir porté à notre attention.

  2. Alain Pierrot dit :

    De l’intérêt à distinguer (quand c’est pertinent) les choses : le livre-oeuvre, stocké physiquement sous forme de fichier informatique dans la mémoire de l’i-pod, restitué à l’aide d’un logiciel de « mise en écran » (générateur de caractère, interface utilisateur, …), — analogue d’une maquette de collection imprimée ? — sur un médium, la feuille de papier électronique, avec son encre — équivalents du papier et des encres d’imprimerie.
    Chacun des points ouvre un paradigme d’alternatives :
    Le fichier peut sans doute aussi bien résider sur un serveur accessible en connexion, sur un disque dur d’ordinateur personnel, la mémoire d’une clé USB ou un CD/DVD-ROM…
    Le logiciel de « mise en écran » peut être spécifique à un format de restitution (PDA, ordinateur) ou encore, un jour, logiciel de synthèse vocale (accessibilité), ou destiné à une plage Braille…
    L’afficheur peut être un écran de taille et définition variables, en papier électronique ou cristaux liquides, ou CRT…
    L’encre électronique peut relever de technologies variées (e-Ink, N&B, couleur, Nemoptic, phosphores RGB, …).

    Aux éditeurs et aux lecteurs de faire leurs choix dans la gamme, selon leur intérêt du moment, plutôt qu’à des équipementiers, non ?

  3. Je pense qu’une telle logique appliquée à du hardware est une bêtise monumentale, et d’ailleurs la très grande majorité des extensions de la sorte ont été des échecs sur le plan commercial (je pense que ce serait un manque de maturité du marché s’ils adoptaient ce genre de stratégie: le monde des consoles de salon ayant réalisé ce type d’erreur il y a maintenant plus d’une dizaine d’années par exemple).

    Autant il est judicieux de considérer du software comme un jeu de lego avec lequel on peut facilement construire ce que l’on veut, que sur du hardware, on réalise un très grand nombre d’erreurs en agissant ainsi. Je remet ici mon commentaire donné sur Aldus:
    « Pour plusieurs raisons je trouve cette idée de prototype assez mauvaise.

    Tout d’abord cela oblige à posseder un iPod, ce qui ne devrait pas être le cas d’un appareil de lecture.

    Ensuite, un tel appareil serait sûrement plus lourd que les modèles actuels du fait qu’il possède un disque dur et pas mal d’éléments dont on pourrait se passer.

    Ensuite il y a le cas de l’autonomie: elle serait bien moindre avec un tel dispositif qui n’est pas orienté mise en veille entre la lecture des pages, sans compter que l’utilisation d’un disque dur est plus gourmande que de la mémoire Flash (pas besoin de beaucoup de place pour des livres).

    Bref, si un jour Apple pond un lecteur basé sur la technologie e-ink, ils feront plutôt un périphérique adapté qu’un gadget dans lequel on emboite son iPod (déjà vu cela pour de la vidéo à l’époque où l’iPod n’en supportait pas et je n’ai jamais été convaincu). »

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *