L’art et la manière de raconter des histoires : un article de John Wilbanks qui concerne les publications scientifiques, même si l’extrait que je traduis ci-dessous ne peut le laisser deviner.
« La capacité de prendre cet énorme corpus d’histoires et de le transformer en quelque chose qui peut être modelé, qui peut être utlisé par des humains et par des machines ensemble pour fabriquer de nouvelles histoires.. Cette capacité va requérir l’émergence de nouveaux éditeurs qui comprennent leur rôle dans la nouvelle économie des contenus. Ils ne seront pas comme des imprimeurs utilisant des bits à la place de l’encre. Ils seront des interprètes, des traducteurs, situés entre les histoires humaines et les machines qui auront pris ces histoires, qui les auront intégrées dans le web des données et qui auront rendu possible pour les humains le fait de leur poser des question, de rêver des rêves, et de raconter de nouvelles histoires… »
Et dans Internet Actu, Hubert blogue depuis PicNic, où Jeremy Ettinghausen, éditeur pour Penguin Books et Matt Locke, de Channel 4 education montreny les changements dans la façon dont le web social permet de raconter des histoires…
« – Il faut cacher des histoires à des endroits inhabituels.
– Il faut savoir se donner des contraintes ridicules.
– Il faut expérimenter en dehors de nos zones de confort, c’est-à-dire apprendre et essayer de nouvelles manières d’écrire et de raconter des histoires.
– Il faut savoir Inventer un caractère sans storyline, sans histoire directrice forte, mais imposer des présences.
– Il faut donner du matériel aux fans pour qu’ils jouent avec.
– Il faut créer des histoires qu’on puisse zapper quand on le souhaite. »
cocoonant dans la neige à Amsterdam, j’ai relu « the curious incident of the dog in the night time » (2004 Vintage), pas numérique, peut être, mais belle prise en compte du cahier des charges « moderne » présenté ici, auquel j’adhère complètement. Mais je reste anémié en images, sons et étouffé de commentaires.