Mettre un bémol, on voit bien ce que ça veut dire, sans connaître le solfège. Mais, « mettre un dièse » ?
Hier soir, Peter Brantley twittait en direct d’un symposium à la Columbia Law School concernant le Règlement Google, et ses répercussions à long terme. On peut suivre, moyennant décryptage de quelques raccourcis (BRR = Books Rights Registry), ses notes de conférence avec le hashtag #gbslaw.
Qu’est-ce qu’un « hashtag » ? C’est une série de caractères précédée du signe #, dont les utlisateurs conviennent du sens. Tout message sur twitter comportant ce hashtag pourra être ainsi considéré comme faisant partie d’un ensemble de messages, auquel est associé un contexte défini.
Cela permet d’effectuer des recherches, et aussi de donner en quelques caractères le contexte d’un tweet.
Souvent, il s’agit d’un événement, comme dans le cas de #gbslaw. Le premier qui commence à twitter un événement propose le hashtag. Il existe aussi des hashtag thématiques, comme #followfriday. Il sert simplement à indiquer à ses followers des personnes intéressantes à suivre sous twitter…
Nombreux sont mes « Following people » d’outre atlantique qui assistent ces jours-ci à SXSW , et utilisent le tag #sxsw.
Mais ici en France, on twitte aussi ! Le hashtag pour « Dem@in le livre » au Salon du Livre est : #sdl09ldd.
Peut-être se trouvera-t-il quelques twitterers pour couvrir les deux débats organisés par Alain Pierrot, et que j’ai le plaisir d’animer ?
Dimanche à 17h30 :
Bibliothèques numériques, de la consultation en ligne au téléchargement
Où en est-on de la consultation en ligne et du prêt par les bibliothèques numériques ? Aspects sociologiques de la lecture numérique.
Daniel BOURRION, conservateur des bibliothèques, Bibliothèque Numérique de l’Université d’Angers
Alain GIFFARD, spécialiste des technologies de l’écrit, président de la Mission interministérielle pour l’accès public à l’Internet
Yannick MAIGNIEN, directeur du TGE (Très Grand Equipement) ADONIS.
Lundi à 14h :
Comment « rematérialiser » les livres numériques au gré des lecteurs ? Impression à l’unité, fichiers numériques, sont-ils opposés ou complémentaires ?
Pierre-Henri COLIN, responsable de l’offre e-paper chez 4D Concept
Hervé ESSA, directeur marketing et commercial chez Jouve
Frédéric FABI, président et fondateur du groupe Dupliprint
Moritz HAGENMÜLLER, directeur de Books on Demand.
ce serait de plus en plus vital qu’on s’organise nous-mêmes pour circulation rétrospective des archives qui comptent
et qu’elles soient techniquement propres – Daniel, tu laisses ton NetBook ouvert en position enregistreur ? Remolino, qui sera sur les fauteuils au 1er rang, on te passe un petit magnéto ?
et on pourrait avoir à terme (en tout cas, perso j’ai de quoi héberger, je suppose que les homo-numerici diraient pas non eux non plus) une sorte de banque de données toute simple pour écouter – dans mes réserves j’ai déjà du Ertzscheid, du Guillaud, de l’Aveline, de l’ENSSIB, du Clayssen…
mais si on le fait pas NOUS ça continuera de se perdre – même si c’est pas dans des conditions assez pro pour en faire un événement blog, mais ce qu’on est en train de vivre depuis 2 ans justifierait amplement cette constitution d’archives, qu’aucun acteur institutionnel n’est en mesure de proposer ?
et un gros MERDRE pour lundi…
pourriez-vous évoquer lundi dans votre débat la question suivante : qui mettra un terme à la déplorable absence blog d’Alain P. ?
Le “hashtag” (#) peut aussi servir de repère (fil conducteur) dans ses propres « twitts ».
Voir par exemple l’usage que propose http://www.grafitter.com/
Je vais essayer d’être là — sans malheureusement pouvoir m’y engager. Pas d’enregistreuse, mais j’userai du hashtag avec plaisir s’il y a du wifi!