…lisez, si ce n’est déjà fait, ce que dit François Bon à propos des blogs et des services de presse, et prenez des nouvelles de Feedbooks chez Aldus.
Et ne manquez surtout pas la seconde histoire de « We tell stories ». C’est vraiment fort, vous ne trouvez pas ?
Question de participer au jeu de la création collective et de l’expérimentation des réseaux « autour de l’histoire », je me suis permis de construire un univers netvibes autour de Slice, deuxième histoire de « We Tell Stories ».
C’est ici:
http://www.netvibes.com/slice
oui ! autant je n’ai pas été convaincu par la première : trop artificiel, trop de clics, j’ai décroché. autant là, on a une expérimentation de ce que pourrait être une écriture narrative après le livre. A suivre donc. Et bravo Clément pour l’idée d’en faire un univers netvibes.
Sebastian Mary publie un billet intéressant sur if:book, à propos de la brièveté et de l’adéquation des textes au format sous lequel on les lit.
[Quoi que vous puissiez penser de l’histoire en question, le premier épisode de l’expérience WeTellStories de Penguin, Les 21 marches suggère une prise de conscience croissante du besoin d’adapter les modes de narration à la diffusion en ligne. Le lecteur n’a pas affaire à plus de quelque 20 mots par clic, 40 à 50 par ‘chapitre’. L’ensemble prend 5 à 10 minutes à lire. C’est, à mon avis, à peu près là que la narration Web doit être pitched]
Difficile de traduire ‘pitched’, allusion au sales pitch/argumentaire de vente, ‘point’ prégnant ou trait pertinent. Pour ma part, j’aime bien l’idée qu’un texte ‘abstrait’ est écrit avec un format optimal en vue, avant que les lecteurs s’en emparent et se l’approprient au gré des circonstances ou de leur liberté de lecteur, quitte à s’écarter de la matérialité proposée par l’auteur.